[Terminée] Retours OST 6 : Yumewakaba
- Sébastien
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[Terminée] Retours OST 6 : Yumewakaba
C'est à vous !
Matcha ga mainichi, ishya wa tôku ni
抹茶が毎日、医者は遠くに
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- Lionel
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Préconisation Hiruma san pour ce thé :
5g - 60°C - 60 ml - 45 sec
puis 80°C - 100 ml - 20 sec
5g - 60°C - 60 ml - 45 sec
puis 80°C - 100 ml - 20 sec
le vide, c'est la base
- Kyara
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
7gr, 100ml, 60°, 45 secs.............................................
Le pied!
Ensuite, 200ml, 75°,
Un autre thé, très trouble, une pointe d'amertume, plus "conventionnel", positivement.
Il a de la matière, c'est certain.
Mais la première infusion...
Encore merci de m'avoir donné l'occasion de découvrir cela, je suis conquis!
Le pied!
Ensuite, 200ml, 75°,
Un autre thé, très trouble, une pointe d'amertume, plus "conventionnel", positivement.
Il a de la matière, c'est certain.
Mais la première infusion...
Encore merci de m'avoir donné l'occasion de découvrir cela, je suis conquis!
“Il faut s’étonner d’une certitude d’avantage que de l’inconnu, frais et limpide comme l’eau du monde” F. Jacquemin
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Je commence la dégustation ce soir un peu à l'aveugle et en totale ignorance par le Yumewakaba. Dès l'ouverture du paquet, une senteur d'herbe fraîche et florale laissant présager des meilleurs sencha...
Pour une première infusion. Environ cinq grammes de feuilles dans le petit kyusu, une eau environnant les 70°, une bonne minute d'infusion... Caramba, on sent que tout est là, fraîcheur, arômes, astringence, mais ça frise le bouillon de cresson. 30 secondes devraient suffire pour l'infusion suivante ...
Heu si on n'a pas le droit de se rater avec ces thés d'exception, il fallait le dire avant, parce que je suis nul en thés japonais, par manque de pratique, pas par manque de goût pour ces thés en particulier.
Pour une première infusion. Environ cinq grammes de feuilles dans le petit kyusu, une eau environnant les 70°, une bonne minute d'infusion... Caramba, on sent que tout est là, fraîcheur, arômes, astringence, mais ça frise le bouillon de cresson. 30 secondes devraient suffire pour l'infusion suivante ...
Heu si on n'a pas le droit de se rater avec ces thés d'exception, il fallait le dire avant, parce que je suis nul en thés japonais, par manque de pratique, pas par manque de goût pour ces thés en particulier.
- Lionel
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Kyara a écrit :Encore merci de m'avoir donné l'occasion de découvrir cela, je suis conquis!
ça me rappelle ma 1ère dégustation de ce thé en 2010...immédiatement conquis aussi...
le vide, c'est la base
- Xavier
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Après avoir pris tant de plaisir hier avec le Sayamakaori, je n'allais pas m'arrêter en si bon chemin. Voici en prime un petit compte-rendu de dégustation. C'est au tour du Yumewakaba !
Le parfum à l'ouverture du sachet est très vert, frais et pâtissier. On est plus sur le végétal que sur le fleuri.
Tout comme avec le Sayamakaori, je fais confiance aux recommandations de Hiruma-san :
5g - 60°C - 60 ml - 45 sec
puis 80°C - 100 ml - 20 sec
La première infu ressemble beaucoup à celle du Sayamakaori mais en plus vert selon mon souvenir (ce qui n’apparaît pas quand je compare les deux photos ) :
Une fois en bouche, ce thé s'avère complètement différent de son fréro dégusté hier. Il est intense dès l'entrée en bouche. L'arôme ressemble fortement au bouquet perçu à l'ouverture du sachet. Pour moi, c'est la chlorophylle qui domine avec une composante que je qualifierais de métallique sur les côtés de la langue. Il y a aussi une dimension sucrée et pâtissière dans laquelle je ressens à nouveau la fleur de cerisier. Est-ce une association d'idée du fait que le thé est japonais ?! N'empêche : je le trouve effectivement beaucoup plus conforme à l'idée que je me fais du thé japonais : très vert avec de la chlorophylle. Iodé ? peut-être mais ça ne me frappe pas particulièrement.
Ce thé est très intense, pas forcément super long en bouche. C'est peut-être cela qui me pousse à rapidement passer à la deuxième infusion (80°C - 100 ml - 20 sec).
La liqueur n'a effectivement rien à voir avec la première. En bouche, c'est par contre sensiblement le même bouquet, mais avec une consistance différente : plus tannique. L'amertume est bien présente, mais pas en excès. Cela s'approche encore davantage des souvenirs que j'ai des sencha.
Sur les conseils de Lionel je continue et fais une troisième infusion en allongeant un peu la durée (80°C - 100 ml -
Pour l'anecdote, comme les feuilles avaient pris du volume, je me suis retrouvé avec ma théière bien bouchée (ce qui a rendu très imprécise mon infusion). J'ai donc dû superposer une petite passoire à mon filtre. C'était un peu le cheni* mais ça allait
J'ai beaucoup apprécié ce thé manifestement de très belle qualité Merci pour cette OS Je ne pouvais rêver mieux pour m'introduire aux thés japonais.
A ce stade de ma découverte, mon préféré est le Sayamakaori. En écrivant ces lignes, je meurs d'impatience d'ouvrir le troisième sachet pour savoir ce que le Hokumei me réserve !! Vivement demain !!
*cheni : voir sur Wiktionary ou alors, la définition subjective de Fabien est pas mal aussi
- Turtlemaster
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Je me lance dans un petit compte-rendu de ma dégustation.
Avant d'entrer dans le vif du sujet, je me dois de préciser une chose: ce fut ma toute première dégustation de thé vert japonais ! Non, je n'ai jamais été attiré auparavant par ces thés, sans doute faute de savoir vers lesquels me diriger, et aussi parce que comblé avec des thés chinois de toutes sortes.
C'est bien là toute la beauté d'une telle opération, elle m'a fait pénétrer un monde qui m'était totalement inconnu.
Autant vous dire que le dépaysement a été à la hauteur de ma curiosité.
Je me lève il y a deux jours de bon matin, avec la ferme intention d'illuminer ma journée avec un de ces thés de Hiruma San. Je retourne tous les sachets plusieurs fois et fini par jeter mon dévolu sur ce Yumewakaba. De toute façon, n'ayant goûté aucun de ces thés, il aurait été difficile de se tromper.
J'ouvre le sachet et plonge aussitôt mon nez dedans comme à mon habitude, pour essayer d'en capturer chaque essence. C'est frais, flatteur, attirant. Bon choix donc. N'ayant aucune connaissance de ce thé, je décide de faire les choses bien, me munis de ma petite balance et des instructions du Maitre. Première surprise pour l'ignorant que je suis: me voilà perturbé par ces feuilles taillées en mille morceaux. Je suis tellement habitué aux feuilles complètes que de voir l'équivalent en masse de ce que je mets d'habitude tenir dans un petit centimètre cube me choque.
Je sors ma théière Tozo, qui bien que je l'apprécie beaucoup, n'a jamais eu la chance de contenir un thé pour lequel elle était pourtant destinée: un vert japonais.
C'est là que les choses se compliquent. Je chauffe la théière, j'y mets le thé, j'infuse à la bonne température. Surveillant mon chrono avec fébrilité , je me dis: c'est maintenant !!
Et là
La liqueur s'écoule si lentement que la fin de ma tasse doit avoir le double d'infusion. Je m'attendais à quelque chose de limpide, presque transparent pour cette première infusion, et je me retrouve avec quelque chose de plus proche du potage de fanes de radis. En bouche c'est très impressionnant. Beaucoup d'arômes, entre les fleurs et l'herbe, pas ou très peu d'amertume, beaucoup de douceur. La consistance est surprenante. C'est comme un bon shot d'espresso. Bien épais, crémeux.
Deuxième infusion: je monte en température, infusion plus courte. Mais là encore mon manque de technique est flagrant. Le liquide a encore plus de mal à passer et dans la panique générale, j'ouvre la théière par le haut et verse maladroitement le tout au travers d'un passe thé. J'aime autant vous dire que mes habitudes de liqueur transparente, de table a thé épurée, et de zen matinal en ont pris un coup. J'ai en face de moi une tasse remplie de liquide vert fluo qui s'apparente si vous me le permettez à du slime de fantôme dans ghostbusters. Ma fragile petite gorge a presque du mal à le faire passer.
J'ai été moins convaincu par cette infusion, et contrairement à d'autres retours que j'ai pu lire, j'ai trouvé les arômes plutôt atténués, moins de relief à la liqueur. Et l'amertume qui signe son come-back
Pour en avoir le coeur net, j'ai refais une infusion à 70° et j'ai retrouvé le plaisir de la première.
Comme chaque qu'on découvre quelque chose de nouveau, cela nous relance dans de nombreuses questions qu'il faudrait que je vous pose à l'occasion.
Mais un grand merci pour l'organisation et de nous donner l'opportunité de découvrir des choses sortant de l'ordinaire.
Avant d'entrer dans le vif du sujet, je me dois de préciser une chose: ce fut ma toute première dégustation de thé vert japonais ! Non, je n'ai jamais été attiré auparavant par ces thés, sans doute faute de savoir vers lesquels me diriger, et aussi parce que comblé avec des thés chinois de toutes sortes.
C'est bien là toute la beauté d'une telle opération, elle m'a fait pénétrer un monde qui m'était totalement inconnu.
Autant vous dire que le dépaysement a été à la hauteur de ma curiosité.
Je me lève il y a deux jours de bon matin, avec la ferme intention d'illuminer ma journée avec un de ces thés de Hiruma San. Je retourne tous les sachets plusieurs fois et fini par jeter mon dévolu sur ce Yumewakaba. De toute façon, n'ayant goûté aucun de ces thés, il aurait été difficile de se tromper.
J'ouvre le sachet et plonge aussitôt mon nez dedans comme à mon habitude, pour essayer d'en capturer chaque essence. C'est frais, flatteur, attirant. Bon choix donc. N'ayant aucune connaissance de ce thé, je décide de faire les choses bien, me munis de ma petite balance et des instructions du Maitre. Première surprise pour l'ignorant que je suis: me voilà perturbé par ces feuilles taillées en mille morceaux. Je suis tellement habitué aux feuilles complètes que de voir l'équivalent en masse de ce que je mets d'habitude tenir dans un petit centimètre cube me choque.
Je sors ma théière Tozo, qui bien que je l'apprécie beaucoup, n'a jamais eu la chance de contenir un thé pour lequel elle était pourtant destinée: un vert japonais.
C'est là que les choses se compliquent. Je chauffe la théière, j'y mets le thé, j'infuse à la bonne température. Surveillant mon chrono avec fébrilité , je me dis: c'est maintenant !!
Et là
La liqueur s'écoule si lentement que la fin de ma tasse doit avoir le double d'infusion. Je m'attendais à quelque chose de limpide, presque transparent pour cette première infusion, et je me retrouve avec quelque chose de plus proche du potage de fanes de radis. En bouche c'est très impressionnant. Beaucoup d'arômes, entre les fleurs et l'herbe, pas ou très peu d'amertume, beaucoup de douceur. La consistance est surprenante. C'est comme un bon shot d'espresso. Bien épais, crémeux.
Deuxième infusion: je monte en température, infusion plus courte. Mais là encore mon manque de technique est flagrant. Le liquide a encore plus de mal à passer et dans la panique générale, j'ouvre la théière par le haut et verse maladroitement le tout au travers d'un passe thé. J'aime autant vous dire que mes habitudes de liqueur transparente, de table a thé épurée, et de zen matinal en ont pris un coup. J'ai en face de moi une tasse remplie de liquide vert fluo qui s'apparente si vous me le permettez à du slime de fantôme dans ghostbusters. Ma fragile petite gorge a presque du mal à le faire passer.
J'ai été moins convaincu par cette infusion, et contrairement à d'autres retours que j'ai pu lire, j'ai trouvé les arômes plutôt atténués, moins de relief à la liqueur. Et l'amertume qui signe son come-back
Pour en avoir le coeur net, j'ai refais une infusion à 70° et j'ai retrouvé le plaisir de la première.
Comme chaque qu'on découvre quelque chose de nouveau, cela nous relance dans de nombreuses questions qu'il faudrait que je vous pose à l'occasion.
Mais un grand merci pour l'organisation et de nous donner l'opportunité de découvrir des choses sortant de l'ordinaire.
- Akala
- Shōgun
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
C'est vrai que les fuka d'Hiruma sont particulièrement mietteux (même pour des fukas) apparement, en me basant sur ceux de 2014 j'aurai commencé par l'Hokumei quand même mais c'est pas grave les deux sont bons
C'est impressionnant au début cette liqueur opaque et vert foncé, mais une fois passé l'apparence ça se déguste très bien ! (Bon je préfère quand même les futsu de manière générale)
Je suis comme toi, je préfère la première infusion (et la 3e dans une moindre mesure), la 2e infu sur les fuka j'ai dû mal à la faire correctement
Pour la verse, c'est un coup à prendre, mais ça dépend aussi du type de filtre, de la quantité de feuille/eau, de la manière de verser l'eau dans la théière puis dans la tasse (en remuant le moins possible les feuilles et en versant doucement on peut limiter un peu les miettes)
En tout cas si tu aime celui-ci, tu aimeras certainement les autres de l'OS et les autres verts japonnais en général je pense
C'est impressionnant au début cette liqueur opaque et vert foncé, mais une fois passé l'apparence ça se déguste très bien ! (Bon je préfère quand même les futsu de manière générale)
Je suis comme toi, je préfère la première infusion (et la 3e dans une moindre mesure), la 2e infu sur les fuka j'ai dû mal à la faire correctement
Pour la verse, c'est un coup à prendre, mais ça dépend aussi du type de filtre, de la quantité de feuille/eau, de la manière de verser l'eau dans la théière puis dans la tasse (en remuant le moins possible les feuilles et en versant doucement on peut limiter un peu les miettes)
En tout cas si tu aime celui-ci, tu aimeras certainement les autres de l'OS et les autres verts japonnais en général je pense
- David
- Chasen
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
un conseil : tu peux commencer plus bas avec les fuka, genre 65°C, c'est pas mal pour la plupart, ça aide pour l'amertume surtout au début. aussi, verse très très doucement, et ne remue pas trop les feuilles en versant l'eau. le but est qu'elles restent au fond le plus possible. du coup, tu inclines ton kyusu petit à petit, en t'y prenant à l'avance pour les infusions courtes (2ème). enfin, à la fin d'une verse (faut bien évacuer le plus d'eau possible), tu peux tapoter ton kyusu pour décoller les feuilles qui couvrent le filtre pour les décoller. ça facilitera l'infusion suivante.
- Étienne
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
La verse peut-être surprenante, en effet ! Faudra que tu fasses un stage chez Lionel.
N'hésite pas à verser doucement et un peu de côté, comme ça les feuilles se collent sur un côté et à la fin tu verse de l'autre. Aussi, secoue ta théière bien fort, de haut en bas, à la fin, pour avoir les derniers ml bien concentrés, c'est le meilleurs (et ça évite que le thé infuse 10mn entre les deux infusions).
N'hésite pas à verser doucement et un peu de côté, comme ça les feuilles se collent sur un côté et à la fin tu verse de l'autre. Aussi, secoue ta théière bien fort, de haut en bas, à la fin, pour avoir les derniers ml bien concentrés, c'est le meilleurs (et ça évite que le thé infuse 10mn entre les deux infusions).
- Kyara
- Graine de Théier
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Les feuilles de ce thé sont très brisées fragmentées.
Est-ce intentionnel, ou accidentel?
Connaissez-vous les raisons?
Est-ce intentionnel, ou accidentel?
Connaissez-vous les raisons?
“Il faut s’étonner d’une certitude d’avantage que de l’inconnu, frais et limpide comme l’eau du monde” F. Jacquemin
- Akala
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
D'autres te donneront plus de détails, mais c'est lié au procédé de fabrication, les senchas "fukamushi" comme ceux-ci sont très fragmentés.
- Lionel
- Galette de Puerh
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Kyara a écrit :Les feuilles de ce thé sont très brisées.
Est-ce intentionnel, ou accidentel?
Connaissez-vous les raisons?
C'est un fukamushi, étuvage plus long que standard qui conduit à des feuilles fragmentées, en lien avec le processus de fabrication.
Hiruma san ne produit que 1 seul futsumushi sencha (ou asamushi) = Taishou ("Grand Prix" en japonais), en plus évidemment de ses Temomicha (roulés à la main).
Tous ses sencha sont en général fragmentés, pas faciles à "manipuler" à leur découverte, ils bouchent facilement le filtre de la théière, en formant comme une pâte où eau et feuilles ont du mal à se séparer...mais c'est un coup à prendre...(stage de verse Kyusu / Sencha Hiruma chez moi en septembre 2 jours 150 € pour les amateurs... ).
le vide, c'est la base
- Akala
- Shōgun
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Meuh non c'est pas grave, "quand on voit pas le fond, c'est que c'est bon !"
- Kyara
- Graine de Théier
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Re: Retours OST6 : Yumewakaba
Merci pour les explications
Et effectivement, les premières verses étaient "sport".
C'est un bon entraînement...
Et surtout quel plaisir de le boire...
Il y en a qui le tente au gaiwan?
Et effectivement, les premières verses étaient "sport".
C'est un bon entraînement...
Et surtout quel plaisir de le boire...
Il y en a qui le tente au gaiwan?
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